Bonjour à tous !
Stan : Voilà, c’est parti, vous êtes tous là, et donc tout d’abord merci ! Merci à vous d’avoir fait le déplacement, de près, de loin ou de vraiment loin. Ça nous fait vraiment chaud au coeur de vous voir si nombreux autour de nous.

Jo : Merci à tous ceux qui nous ont aidés à organiser cette journée, à nos parents et tout particulièrement à nos mamans et leurs soeurs qui se sont démenés pour les fleurs et pour bien d’autres choses, à nos témoins Sophie et Bruno et à tous les amis qui nous ont accompagnés et entourés pour la préparation.. À Cath, dont vous verrez les œuvres plus tard, à la chorale qui continuera de nous enchanter, à Vio pour les 1000 petits bonshommes rigolos de notre site et de notre faire-part, à Latifa et Bert, et à Marie et Jérémie pour leurs talents culinaro-artistiques. Nous avons une petite pensée aussi pour ceux qui ne peuvent être parmi nous, et tout particulièrement pour Bon-Papa et Bonne-Maman. Massart et Kumps.

Stan : Enfin, je voudrais terminer ces petits remerciements par ceux qui le méritent plus que tout. Merci à Jules Metz, à Caroline Dossogne et à Denis Collard de s’être cotisés pour nous offrir un beau soleil, charmante surprise après une belle série de week-ends pourris, nous laissant présager le pire. De surprises, la vie en est pleine. Tout le monde le sait, tout le monde le dit, mais cette vérité reprend toute sa force et toute sa beauté quand les plus belles nous tombent dessus. Il y a un peu plus de 2 ans, j’ai eu une vraie bonne idée. Pas une pour le salon des inventions loufoques ou le musée des utopies décalées. Juste une idée toute simple : Aujourd’hui, je vais m’inscrire sur un site de rencontres. Deux jours plus tard, je rencontrais Jo. Mon heure était venue, mon temps dans le grand purgatoire des célibataires en détresse touchait à sa fin.

Jo : Moi aussi figurez-vous, j’ai eu cette excellente idée ! Et avant lui d’ailleurs... Mais je n’en étais pas à mon premier essai. Parce qu’il faut dire ce qui est, sur les sites de rencontres, il y a un peu de tout. Et surtout n’importe quoi. Je commençais un peu à me décourager. Jusqu’au jour où je t’ai rencontré. Toi Stan, et la magie de la rencontre a fait le reste. Je me suis dis, « Lui, c’est le papa de mes enfants ». Deux années ont passés remplies de découvertes, de voyages, de projets, de moments plus difficiles et de doutes aussi…

Stan : Dans le doute, abstiens-toi, dis la maxime. Et d’abstinence, il en fût longemps question. C’est que je l’ai attendu, cet amour, suivant à la lettre le précepte de Desproges, qui veut que « ce n’est pas parce que l’homme a soif d’amour qu’il doit se jeter sur la première gourde », j’ai attendu. J’ai espéré, j’ai désespéré, j’ai tenté de séduire, pour finalement conclure que tout vient à point à qui sait attendre. Avec raison. Peut-être que tout vient à point à qui sait draguer aussi, mais ça, ça ne me ressemble pas beaucoup. Même si on a eu un peu de mal à grimper dessus, on a bien l’intention de laisser la grande catapulte de la vie nous projeter aussi haut que possible.
En espérant même rentrer en orbite et ne plus jamais retomber ! Peut-être un jour la gravité de la vie aura-t-elle raison de cet élan, mais avant de rejoindre un possible creux de la vague, on espère avoir le temps d’admirer le paysage depuis les sommets.

Jo : L’autre quand on l’aime, est un univers qu’on a jamais fini d’explorer. Être amoureux de Stan, c’est croquer la vie à pleines dents, c’est goûter à son infinie tendresse et à sa générosité, c’est un voyage parsemé de créativité, de découvertes, de rires et de spontanéité. C’est vivre une relation basée sur la confiance, le respect, la liberté et la simplicité. C’est le bonheur de se retrouver tous les jours.

ùStan : Être amoureux de Jo, c’est une aventure au quotidien, une myriade de petites surprises qui égaillent mes jours et mes nuits. L’infinie découverte d’un vrai bel être humain. De l’extérieur, mais surtout de l’intérieur, dans sa simplicité, ses doutes, ses peurs et son attachement viscéral aux valeurs de justice, d’humanité, d’humilité et de partage.

Jo : On va pas se la jouer grands naïfs et penser que quoi qu’il arrive, la vie ne nous séparera jamais, que l’amour durera toujours et que « à nous, ça ne nous arrivera pas ». Ce qui est sûr c’est que depuis plus de deux ans, notre amour ne cesse de grandir un petit peu plus chaque jour, au fil des rêves partagés, des envies naissantes, des projets à deux et des réalisations communes.

Stan : Aujourd’hui et devant vous toutes et vous tous, les gens que nous aimons, les amis, la famille, les amis des amis et les amis de la famille, nous sommes là pour célébrer notre amour. Pour nous reconnaître comme « un Nous », et comme un jour, une famille. Parce que c’est important de parfois s’arrêter et se réunir pour regarder le passé, le présent, mais surtout, tout ce qui reste à construire, ce qui est en germe, en gestation, « dans l’œuf ». Je vous entends murmurer/je vous vois venir, et non, ceci n’est pas une annonce. C’est une allusion.


Jo : Nous avons choisi les textes qui vont suivre parmi les mille textes qui existent sur l’engagement, car ils reflètent la beauté des petites choses de la vie, des moments partagés et de l’amour qui s’épanouit jour après jour.


Anne-Sophie (Extrait de “L’autre”, de Roger Garaudy)

"L’amour commence lorsqu’on accepte l’autre dans sa différence et son imprescriptible liberté.
Accepter que l’autre soit habité par d’autres présences que la nôtre,
n’avoir pas la prétention de répondre à tous ses besoins, à toutes ses attentes, ce n’est pas se résigner à l’infidélité à notre égard, c’est vouloir, comme la plus haute preuve d’amour, que l’autre soit d’abord fidèle à lui-même.
Même si cela est souffrance pour nous, c’est une souffrance féconde parce qu’elle nous oblige à nous déprendre de nous-mêmes, à vivre intensément cette dépossession enrichissante.
Dans la plus amoureuse étreinte, c’est un être libre que nous étreignons, avec tous ses possibles, même ceux qui nous échappent."


Violaine : (Extrait de “Parlez-moi d’amour”, de Michel Quoist)

“L’amour n’est pas tout fait
Il se fait.
Il n’est pas une robe ou un costume à porter
mais pièce d’étoffe à tailler, à monter et à coudre.
Il n’est pas oui triomphant
mais il est multitude de « oui » qui pointillent la vie
parmi une multitude de « non » qu’on efface en marchant.
Ainsi être fidèle, vois-tu, ce n’est pas
ne pas s’égarer, ne pas se battre, ne pas tomber,
c’est toujours se relever et toujours marcher,
c’est vouloir poursuivre jusqu’au bout
le projet ensemble préparé et librement décidé.
C’est faire confiance à l’autre au-delà des ombres de la nuit,
c’est se soutenir mutuellement au-delà des chutes et des blessures.”


Catherine ( Extrait du livre “Eloge du mariage, de l'engagement et autres folies”, de Christiane Singer)

"La vraie aventure de vie, le défi clair et haut n’est pas de fuir l’engagement mais de l'oser.
Libre n’est pas celui qui refuse de s’engager.
Libre est sans doute celui qui ayant regardé en face la nature de l’amour
- ses abîmes, ses passages à vide et ses jubilations sans illusions- se met en marche, décidé à en vivre coûte que coûte l’odyssée, à n’en refuser ni les naufrages ni le sacre."
Ce qui rend le mariage si fort et si indestructible, c’est qu’il réunit un homme et une femme autour d’un projet. D'un projet fou. D'un défi quasi impossible à réaliser et impérieux à oser.
Il est probable que les seuls modèles adaptés pour nous permettre d'avancer sont la haute-voltige et l'art du funambule. Un mariage ne se contracte pas. Il se danse. A nos risques et périls. »


Françoise : (Texte d’Eve Castro)

“Après, on apprend l’autre. On l’épelle, on le déchiffre. C’est là sans doute le moment le plus merveilleux de l’amour. L’autre devient un continent, un peuple, une langue. On se penche sur ses conjugaisons, ses rites, ses zones interdites, ses fantômes, ses aubes et ses soirs, ses raccourcis et ses détours. On piaffe, on revient en arrière, on s’applique, on s’émerveille. Et quand on commence à se sentir chez soi, alors seulement on découvre le bonheur.”



Bruno: Mon cher Stany,
Sophie: Ma chère Joséphine

Etre témoin, ça veut dire quoi finalement?

Bruno: Pour moi, être témoin, c'est vraiment un rôle important. C'est un rôle pour une vie. C'est être un témoin de vie, un compagnon pour stan. De ce fait, je n'ai pas l'impression de devenir témoin, mais plutôt de le rester, tel que depuis le tout début… Avec un petit changement cependant, et non des moindre, JO est arrivée! Etre témoin, c est être là, dans les bons et dans les moins bons moments. Dans les moins bons pour rappeler l'essentiel, apporter la distance et la perspective, le recul, les conseils mais surtout sans les jugements. Dans les bons, c'est être la aussi mais juste pour être la et pour profiter de l'amitié et du bonheur d'être ensemble, avec vous.

Sophie: Ma belle, ma grande, car oui aujourd’hui te voilà grandie, et je ne parle pas de ces quelques centimètres de plus à tes pieds. Je te parle de cette grandeur du cœur, de cette ouverture à l’autre, de ta rencontre avec Stan qui te grandit … et qui te va si bien !
(Stan et Jo) être témoin de votre union, c’est pour moi être présente, telle une lumière toujours allumée, être là (même si loin parfois). Partagez vos bonheurs, écoutez vos pleurs. Etre là à vos côtés dans les petits et grands moments. Et dans les jours plus sombres, vous rappelez que vous êtes une lumière l’un pour l’autre.

Bruno: Jo, on a petit à petit appris à se connaitre, et s'il y a bien une chose dont je suis certain, c'est que Stan t'a littéralement adopté et qu'il t aime profondément. Même si ses proches la connaissait déjà, tu as su faire briller la sensibilité et la personnalité super riche de stan, pour notre plus grand bonheur.

Sophie: Joséphine te voilà accompagnée de Stany pour poursuivre ton chemin de vie.
Stan qui te nourrit de ses petites attentions parsemée dans votre quotidien.
Stan avec qui tu échanges, discutes, développes ton esprit critique et affirmes ton point de vue.
Stan avec qui tu gardes les pieds sur terre.
Stan, surtout, qui t’offre la liberté de rester telle que tu es.

Bruno: Etre témoin, c'est donc pour nous, continuer à maintenir ce lien très fort d'amitié qui nous lie à vous, presque de fratrie entre nous Stan, mais c'est aussi ouvrir ce lien à l'autre en étant témoin de votre amour.

Sophie: Etre témoin c’est aussi pour nous partager le bonheur de votre engagement et être à vos côtés aujourd hui ! Engagez vous à garder votre p’tite bulle à vous toute pure. Ayez pour vous-même confiance, respect, intimité, honnêteté, jardin secret !
Engagez vous à développer vos bulles de richesses intérieures.
Engagez vous à buller et pétiller ensemble. Ayez des projets complètement bulles à vous deux !
Engagez vous à entretenir les richesses de votre partenaire et de votre Amour. Mettez de la couleur dans vos bulles !

Bruno: On ne sait pas de quoi demain sera fait, mais on sent que vous vous êtes trouvés et que des bases solides sont présentes. N'oubliez pas de parler souvent, tout le temps, n’ayez pas peur de confronter vos divergences et de "péter les petites bulles au fur et à mesure" pour qu'elles restent toujours petites et petables… Pour terminer, je vous remets ce morceau de papier bulle pour vous rappeler cette métaphore. J'ai vraiment confiance dans votre couple et je suis vraiment plus qu'heureux aujourd'hui d'avoir ce privilège d être à vos côtés…

Sophie: (Bulles pures, bulles à deux, bulles colorées, bulles à pêter, pétages de bulle, bulles de bonheur, folles bulles… bulles de fous…)
« Il y a des fous tellement fous que rien ne pourra jamais leur enlever des yeux la jolie fièvre d’amour. Qu’ils soient bénis ! C’est grâce à eux que la terre est ronde et que l’aube à chaque fois se lève, se lève, se lève »


Catherine : Le mariage c’est quelque chose de peu raisonnable, si on y pense bien. Un choix de confiance, un engagement pour tous les jours. Je ne pense pas qu’on en perçoive encore vraiment l’ampleur, et c’est d’autant plus précieux. Alors, j’ai envie de vous dire qu’on est là! Aujourd’hui, pour célébrer ce pas que vous faites ensemble, ce bonheur, cette force, cet enthousiasme mais on sera là aussi demain, et toujours j’espère, si les chaos de la vie vous malmènent… Et avec toute mon équipe, je m’y engage!

Françoise: A Joséphine et Stany, j’adresse ce petit poème titré :

« Vive les yeux qui pétillent… »

“On a quelque fois des coups durs dans la vie,
Mais je suis comblée de vous voir aujourd’hui
Choisir ensemble ce beau nouveau chemin
Offrant une jolie fleur certains matins
Une herbe folle ou un sourire d’enfant,
Une douce pluie ou un coup de vent.
Demain, personne ne sait de quoi il est fait !
Mieux vaut éviter les « toujours » ou « jamais »
Offrir sa confiance en l’autre pour ce qu’il est et sera,
Ou pour ce qu’il aurait voulu être et ne sera pas,
Quel cadeau ! Osons le faire ou le refaire
Et quoi qu’il arrive encore en être fier…

Que pétillent vos yeux
Que pétille le champagne
Que pétillent vos amis
Que les bulles de savon pétillent
Que l’amour pétille
Que la vie pétille
Et pour terminer, que je pétille aussi !”

Gaëlle : “Ma vie en rose” chanté avec Casta

Christian : Bon, ce n’est un secret pour personne,... Les discours ne sont pas mon point fort. Et en disant cela, je pense particulièrement à ceux qui parmi vous étaient au mariage de Catherine et Bastian. Ils ne s’attendent sûrement pas à un exploit réthorique de ma part et ils ont raison.
Mais tout de même, je voudrais exprimer devant vous tout mon bonheur de papa de voir son grand fils entamer ici avec Joséphine un chemin que je leur souhaite magnifique.

Stany et Joséphine, sans doute cela semblera-t-il anodin, mais avant-hier quand vous êtes passés en coup de vent à Tourinnes, tout occupés à la préparation de cette journée, je vous ai sentis vraiment ensemble, sereins et confiants dans l’avenir et votre projet commun, l’harmonie était vraiment palpable, un vrai plaisir.

Et si je repense à Stany ado, j’ai le souvenir de certains projets initiés avec un enthousiasme délirant mais qui parfois avaient du mal à abouttir complètement… Cela c’est du passé, la musique a changé.

Pour Joséphine, Stany a entrepris des projets ambitieux qui ont été menés à bien avec opiniâtreté et brio. Il n’y a pas très longtemps, j’ai par exemple dû mettre toutes les ressources de l’atelier ainsi qu’un stock important de bois à sa disposition pour lui permettre de réaliser le magnifique écrin en bois hautement symbolique qu’il avait brillament conçu pour abriter la bague magique. Je suis sûr que Joséphine a apprécié. Peut-être même sommes-nous ici un peu grâce à ce projet abouti.

Alors Stany et Joséphine, bon vent à vous deux et je vous souhaite de pouvoir réaliser vos rêves et vos projets… Bon en tout cas une bonne partie...

Violaine: texte métaphysico-philosophique que je ne vais pas retranscrire :-) + chant

Catherine (bis): Bon papa et Bonne maman, s’ils avaient été encore là, c’est sûr, ils auraient été très heureux. Mais qu’auraient-ils dit? Pour Bastian et moi, ils avaient amenés quelques phrases de Khalil Gibran. Alors, en pensant à eux, j’en ai choisi une. Elle dit simplement: “c’est dans la rosée des petites choses que le coeur trouve son matin et se rafraîchit.” Ce sont ces petites choses que je vous souhaite.



Stan : En préparant ma demande en mariage, j’ai eu 1000 idées. Des bonnes, des moins bonnes, des réalisables et des complètement délirantes. Jusqu’à trouver celle qui parlait d’une union et d’un début. Qui alliait la symbolique des possibles et la beauté de la forme. Un oeuf. Aujourd’hui, c’est un petit début d’éclosion. Une petite étape parmi toutes celles qui nous reste à parcourir ensemble, et un grand jour pour nous.


Stan : C’est juste une petite bague. Ça ne fera rien apparaître ou disparaître, mais c’est un symbole. C’est comme un rond dans l’eau qu’on espère ne jamais voir toucher aucune berge. C’est une alliance. Pas nouvelle et pas éternelle, mais c’est notre alliance. Jusqu’à ce que la mort – ou la vie – nous sépare, Joséphine, veux-tu être mon amoureuse, ma complice et ma femme ?

Jo : Oui!

Jo : Et toi Stan, jusqu’à ce que la vie ou la mort nous sépare, veux-tu être mon ami, mon amoureux et mon époux?

Stan : Oui ! ! !

APPLAUSE :-)

Bernadette : Texte surprise

“Joséphine et Stan,

Nous voilà en fin de cérémonie.
Nous sommes, Marc et moi, touchés par la franchise et la profondeur de votre engagement : votre authenticité, complicité et respect mutuel sont déjà votre pain quotidien. Continuez à vous abreuvez à cette source de vie !
Nous voulons vous dire que l’union de vos deux êtres, Joséphine et Stan, comme l’union de tout couple est un mystère, quelque chose qui nous dépasse, qui est au-dessus de nous et nous donne une dimension spirituelle.
Dieu est là… qu’Il vous accompagne tout au long de votre route.

En ce jour, les fleurs ont un sens et un langage : elles disent ce qu’on ne peut pas toujours dire avec les mots.
Aussi, Isaline et Lison, vos filleules, vous offrent ces petits bouquets en signe de tendresse et d’affection.”

Sophie : Extrait d’une interview de Jacques Brel sur Europe 1, 1er janvier 1968.

Puisque votre amour est assez fort pour vous engager dans l’aventure du mariage, Stan et Jo, je vous souhaite, comme le dit si bien Jacques Brel…"des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns. Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer et d'oublier ce qu'il faut oublier. Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences, Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil et des rires d'enfants. Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir. Je vous souhaite de résister à l'enlisement, à l'indifférence et aux vertus négatives de notre époque, Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l'aventure, à la vie, à l'amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille. Je vous souhaite surtout d'être vous, fier de l'être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable."

Et que la fête commence!!!!